Depuis quelques jours, cette énigme mathématique affole Internet : 9 ÷ 3 x (2 + 1) = ? Pensez-vous pouvoir la résoudre plus vite que la majorité ?
Tout le monde n’aime pas les maths. Et on comprend pourquoi. Rien qu’à entendre « équation », certains ressentent un léger frisson d’angoisse. Résoudre une énigme mathématique ? Ça n’a rien à voir avec les vieux souvenirs de devoirs interminables. Ici, il est question de plaisir pur. De challenge. D’adrénaline même, quand votre cerveau fait le « clic » magique de la bonne réponse. Un petit casse-tête a récemment mis tout Internet en ébullition. Simple en apparence, il a semé la zizanie sur les réseaux. Des milliers d’internautes se sont lancés à l’assaut de cette équation. Certains ont trouvé la solution du premier coup, d’autres se sont égarés en chemin. Une chose est sûre : personne n’est resté indifférent.
Une équation toute simple… qui ne l’est pas tant que ça
Le défi est simple, du moins en apparence :
9 ÷ 3 x (2 + 1) = ?
Voilà l’équation qui a mis des milliers d’internautes en ébullition. Trois chiffres. Quelques symboles. Et un dilemme mathématique qui ne devrait pas poser problème… sauf qu’il le fait. Parce que derrière cette simplicité apparente se cache un vrai test de logique. Pas besoin d’être prof de maths, mais il faut garder la tête froide. Et surtout, savoir dans quel ordre faire quoi.
Des millions de vues, des centaines de milliers de partages, et autant d’arguments lancés dans tous les sens. Faut-il commencer par diviser ? Multiplier ? Les parenthèses, on s’en doute, sont la clé. Mais ensuite, ça se gâte. Beaucoup se plantent parce qu’ils oublient une règle essentielle : la priorité des opérations. Et c’est précisément là que ce genre de casse-tête devient savoureux. Il provoque, il titille l’égo. On croit savoir… puis on doute. Jusqu’à revenir aux bases.
Saurez-vous résoudre une énigme mathématique qui affole les réseaux ?
La beauté de ce genre d’énigme, c’est qu’elle piège notre impulsivité. La tentation est forte de foncer sans trop réfléchir, de multiplier, de diviser à la va-vite. Mais résoudre une énigme mathématique exige un peu plus de méthode. Ce petit jeu repose sur une règle de base que beaucoup oublient sous la pression : on commence par les parenthèses, puis on lit de gauche à droite. Pas d’exception. Pas de raccourci.
La bonne approche ? Reprendre calmement, étape par étape.
D’abord les parenthèses. 2 + 1, facile : 3.
Ce qui nous donne : 9 ÷ 3 x 3.
Et là, attention. Division ou multiplication d’abord ? Eh bien, ni l’une ni l’autre. Les deux sont au même niveau. Il faut juste aller de gauche à droite.
9 ÷ 3 = 3.
Puis 3 x 3 = 9.
Résultat final : 9. Simple, mais il fallait le voir.
C’est ça, le charme de ce type de défi. Il nous pousse à ralentir, à douter de ce qu’on croyait acquis. Et une fois la réponse trouvée, il y a ce petit frisson. Le plaisir de résoudre une énigme mathématique qui semblait échapper à tant de monde. Pas besoin de papier, pas besoin de calculatrice. Juste un peu de logique… et un soupçon de sang-froid.
Pourquoi ces énigmes font autant vibrer ?
Ce n’est pas juste pour le fun. Il y a une vraie raison derrière l’engouement. Résoudre une énigme mathématique, c’est comme déverrouiller une porte dans son propre esprit. Ça réveille quelque chose. Une envie de comprendre, d’y arriver sans aide. Ça rappelle un peu les jeux de société, les puzzles. Mais avec un côté plus immédiat, plus universel. Tout le monde a appris ces règles, tout le monde peut essayer.
Et puis il y a cette dynamique sociale. On tombe sur l’équation en scrollant son fil. On bloque. Bien sur, on fait une capture d’écran. On l’envoie à un pote. « Toi aussi t’as trouvé 27 ? » « Attends… quoi ? C’est 9 ! » Et c’est parti pour dix minutes de débat animé. On remet en question ses certitudes, on compare les méthodes. C’est ça aussi, le pouvoir viral des maths sur Internet. Elles réunissent. Ou elles divisent. Littéralement.
Sur les plateformes, ces défis circulent comme des feux de forêt. Les gens veulent tester leurs capacités, prouver qu’ils peuvent résoudre une énigme mathématique que les autres ratent. Il y a une sorte de compétition implicite, mais bienveillante. Une manière de se mesurer sans se prendre trop au sérieux.
Et pourtant, il y a aussi cette vraie satisfaction. Celle de ne pas se laisser avoir, de ne pas tomber dans le piège. Celle de prendre le temps de réfléchir, dans un monde qui en demande toujours plus, toujours plus vite. Prendre une pause pour le cerveau, une petite respiration logique au milieu du chaos numérique.
Alors, à vous de jouer. Pas besoin d’être un matheux. Juste de prendre le temps. Posez-vous une minute, respirez un bon coup… et essayez. Qui sait ? Vous serez peut-être l’un des rares à résoudre une énigme mathématique qui rend fou tout Internet.
