Le PER est un produit d’épargne à long terme qui offre plusieurs privilèges. Un rapport parlementaire rendu en octobre dernier suggère que ses avantages fiscaux sont remis en question. Découvrez les conséquences sur votre épargne. Détails.
Un dispositif fiscal attractif menacé
L’année 2019 a vu une réforme majeure des retraites individuelles en France. Cette innovation a été créée par la loi PACTE. Le régime est basé sur trois options : le PER individuel PERIN, le PER d’entreprise collectif PERCO et le PER d’entreprise obligeant. Cette solution a acquis une grande popularité en un temps record en raison de sa facilité et surtout de la fiscalité. Les versements volontaires sont déductibles des recettes et, à la retraite, les fonds peuvent être récupérés sous forme de rente ou de frais généraux.
Néanmoins, cette dynamique a abouti à un succès tel qu’elle se caractérisait par une adoption très forte lors de la première année. Début 2024, le nombre de PER ouverts avait déjà dépassé 16 millions. Et leur montant total atteignait 292 milliards d’euros (P.11). Chaque année, l’État “perd” 1,8 milliard d’euros sur les incitations fiscales, et la Cour des compte fait a déjà déclaré qu’il est impossible de continuer à garder de tels privilèges. Dans son rapport sur l’an dernier, la Cour des comptes propose de les réduire sérieusement, y compris en diminuant le plafond des déductions fiscales ou en empêchant les gens de les reporter d’une année sur l’autre. Ces idées soulèvent de vives inquiétudes, parce que s’il y a une réduction significative, les gens vont revoir leur stratégie d’épargne, car l’avenir du plan est en danger.
PER en danger : quelles alternatives en cas de réforme ?
Si les avantages fiscaux du PER sont limités, quels sont les autres choix disponibles ? Heureusement, d’autres moyens d’économie sont toujours prometteurs. Par exemple, l’assurance-vie peut être un compromis adéquat pour l’essentiel de l’épargne à la retraite. Il s’accompagne de paiements réguliers, financiers à tout moment, ainsi que de paiements en cas d’invalidité ou de décès. Une autre possibilité est le PEA, méthode pour les investisseurs prêts à prendre des risques. Après cinq ans, aucune taxe n’est facturée . Ensuite, les gains sont taxés tandis que les paiements à vie bénéficient des taux de contrôle de base. Toutefois, la liberté de l’investisseur est limitée. Une alternative est, par exemple, les SCPI. Concrètement, les SCPI attirent ceux qui veulent un revenu fixe des locations. Ils ne sont pas très courants, mais peuvent servir d’alternative.
Rien n’est définitivement acté quant au PER, il existe donc bien que : serait bien modifié. Les recommandations de la Cour des comptes doivent obligatoirement passer une phase de débats pour espérer aboutir à une réforme. En attendant, il reste seulement primordial de se tenir informé et de diversifier son épargne pour demeurer prudent. Que se passera-t-il, tout ce que vous connaissez moins reste figé. Car il est promis : La fiscalité évolue, mais vos projets quant à l’épargne et la retraite doivent demeurer fixes.
Faites évaluer vos choix, les options qui restent encore, et ne laissez en aucun cas d’incertitudes conserver votre gain et vos profits. Précédemment, nous avons découvert : la sérénité est une affaire de préparation. Peu importe le produit choisi, l’objectif ne demeure valable que sur ce que vous investissez réellement dans les solutions qui s’accordent à vos moyens et vos objectifs. Êtes-vous prêts pour donc sécuriser votre avenir ? On ne peut pas dire que les solutions manquent, même si le PER reste en danger.